En fait ici, la compétition c'est presque vu comme mal. c'est rendu qu'on évalue plus les étudiants du primaire et secondaire (6 à 17 ans) avec des notes mais avec des critères. On évalue l'élève par exemple sur sa capacité à comprendre le rôle de sa municipalité dans sa région. À décortiquer un problème complexe de façon à le vulgariser pour en donner la solution.
Et du coup, l'enfant est évalué par rapport à lui-même, il n'existe donc plus de moyenne, rien. L'argument était que les enfants les moins faibles se décourageaient de ne pas avoir de bonnes notes et ça encourageait le décrochage scolaire.
Personnellement je trouve cette mentalité des plus abrutissantes où on n'est même plus capable de cerner les matières où l'enfant est fiable et devrait travailler davantage.
Il ne reste que les sports où il y a de la compétition et les heures ont été coupées un max, ne restant qu'une heure aux deux semaines et là-dessus, on parle beaucoup plus d'entraînement que de sport d'équipe où on s'affronte.
Au final, je sais pas si ça a un réel mipact mais ces enfants se croient bon et prennent la grosse tête. Tout leur est dû et le syndrôme de l'enfant-roi se fait de plus en plus présent.
À côté de ça, un enfant est turbulent, on le dope au ritalin pour le calmer. Comme les garçons sont plus physique et ont donc besoin de plus d'action que les filles, ce sont eux qui le plus souvent sont dopé aux calmants.
Et quand ces enfants qui n'ont jamais vécu d'échecs car n'ayant jamais été comparé arrivent sur le marché du travail et qu'ils se font dire non, où ils se font pousser pour avancer et produire, où ils reçoivent des critiques sur le travail, quand ces enfants se le font dire, leur monde s'effondre, ils ne comprennent pas, leur estime personnelle chute u max et ils ont plus l'instinct de s'appitoyer sur eux-même que de se relever et de faire face à ces critiques.
La compétition aide à se dépasser. Certes cela crée des inégalités, mais ce n'en est que plus juste. Il ne faut pas oublier que si on met tout le monde au même niveau, c'est équitable, mais c'est aussi injuste car on brime ceux qui sont plus performants au détriment de ceux qui le sont moins.
De cette façon on limite la performance de toute une société en ralentissant ces meilleurs éléments car il y en a des plus faibles. Certes il ne faut pas négliger ces faiblesses en terme de vie sociale, il faut même les corriger, mais pas au détriment de ceux qui performent.